Il occupe particulièrement le devant de la scène depuis des mois. Le bitcoin n'est en fait qu'une des cryptomonnaies existantes. Et l'an dernier, ce n'est pas celle qui a progressé le plus: le bitcoin n'est que 14e dans le classement des hausses. La volatilité de ces monnaies virtuelles appartient au cycle régulier d'acceptation d'une nouvelle technologie, souligne Vincent Mignon, avocat de l'étude LE/AX, qui était l'invité du dernier 5 à 7 de la Finance de la BCV. Et de rappeler que la technologie liée à ces monnaies, les blockchains, permet l'arrivée d'initiatives privées dans des domaines régaliens. Avec quelles conséquences? Entretien.
- Peut-on séparer l'évolution du bitcoin de celle de la blockchain?
- Qu'est-ce qui garantit tant la sécurité que la transparence de la blockchain?
- La blockchain peut-elle être aussi disruptive qu'internet?
- Quelles branches de l'économie peuvent être le plus touchées?