Comment gérer au mieux le trafic des paiements de son entreprise?

Les possibilités offertes par l’e-banking ont beaucoup évolué.

Entreprises 11 mars 2024
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Comment gérer au mieux le trafic des paiements de son entreprise?

Pour une petite structure, les services offerts par les plateformes d’e-banking peuvent suffire. Pour une PME, la gestion financière dans son ensemble joue un rôle central, alors un logiciel comptable peut s’avérer nécessaire.

Les possibilités offertes par l’e-banking ont beaucoup évolué. Elles se sont étoffées et permettent aux entreprises de gérer toujours plus efficacement leur trafic des paiements. Mais, selon ses besoins spécifiques, cela peut ne pas suffire et l’entreprise devra opter pour une solution logicielle lui permettant de gérer sa comptabilité et son trafic des paiements. Comment choisir, selon quels critères?

Analyser les besoins de l’entreprise

En résumé, le trafic de paiement regroupe la gestion des débiteurs et des créanciers, soit la facturation et l’encaissement d’un côté et les paiements de l’autre (salaires, fournisseurs…). Pour une petite structure avec de faibles volumes de transactions, les services offerts par les plateformes d’e-banking peuvent, dans un premier temps, répondre aux besoins. Pour une PME, en revanche, la gestion financière dans son ensemble joue un rôle central, d’autant plus que les besoins d’automatisation et de digitalisation vont croissant. Acquérir un logiciel comptable peut donc s’avérer nécessaire. Le logiciel va notamment permettre d’automatiser bien des activités fastidieuses, de gagner du temps, d’être plus efficace.

Comparer les coûts des solutions logicielles

Les solutions logicielles disponibles étant nombreuses, pour trouver la «perle» il faut, avant tout, faire un état des lieux détaillé des besoins actuels et futurs de l’entreprise afin d’opter pour la solution la mieux adaptée. Parmi les impondérables, le logiciel doit utiliser les normes en cours de la place financière suisse (formats, interfaces) et, idéalement, proposer une connexion directe avec l’établissement financier pour simplifier les échanges. «Last, but not least», les coûts: payer en fonction de ses besoins et non pour des fonctions complexes que l’on ne va pas utiliser.

Dans tous les cas, ce domaine pouvant devenir rapidement complexe, n’hésitez pas à faire appel à des spécialistes pour vous accompagner dans vos démarches.

Cet article a paru dans 24 Heures, le 11 mars 2024