Se substituant à l’inflation, la croissance revient en tête des préoccupations des marchés et des banques centrales. Le scénario d’un atterrissage en douceur de l’économie mondiale reste privilégié, mais il devra être validé, ces prochains mois, par les statistiques de l’emploi et les indicateurs d’activité. Dans cette séquence à faible visibilité, les marchés ne sont pas à l’abri de quelques accès de nervosité que la proximité des élections américaines et les tensions géopolitiques pourraient exacerber.