La numérisation demande de gros efforts en matière de formation, qu'elle soit initiale ou continue, que l'on parle d'apprentissage ou de requalification, a souligné Aldo Ferrari, vice-président du Comité directeur d'Unia, lors de son intervention au 5 à 7 de la Finance le 10 avril à Lausanne.
Numérisation, globalisation et concurrence ont induit des effets disruptifs sur les modes de production et leurs acteurs. Ces transformations ne sont, en elles-mêmes, ni bonnes, ni mauvaises, mais notre environnement doit s'adapter. Notamment en ce qui concerne la formation qui "constitue un rempart au chômage technologique et structurel", selon Aldo Ferrari, vice-président du Comité directeur du syndicat Unia, invité du 5 à 7 de la Finance de la BCV, qui s'est tenu le 10 avril à Lausanne.