Parmi les risques figurent ceux liés à l’environnement et au climat (tempêtes, inondations, catastrophes naturelles).
Tout événement empêchant l’entreprise d'atteindre ses objectifs peut être considéré comme un risque. Et l’éventail des risques est large.
Une entreprise rencontre des risques nombreux et variés, pouvant provoquer une grosse perte financière, voire la ruiner. Pour faire face à cette menace, il faut mettre en place une bonne stratégie de gestion des risques et y allouer les ressources nécessaires.
Tout événement empêchant l’entreprise d'atteindre ses objectifs peut être considéré comme un risque qui, dans les cas les plus graves, peut provoquer une interruption d’exploitation et des pertes pouvant mener à la faillite. Et l’éventail des risques est large. À noter que certains peuvent être couverts par des assurances.
Pour les risques financiers, tels les risques de change ou de taux, votre banquier vous proposera les instruments adéquats de couverture. D’ailleurs, on le dit souvent face à la forte volatilité des marchés «ne rien faire, c’est spéculer». On dit aussi qu’«il n’y a pas de place pour la spéculation dans une entreprise». Les risques informatiques, pannes du système, violation des droits de protection des données ou cybercriminalité se sont fortement accrus ces dernières années, notamment ceux de la dernière catégorie. Puis, il y a des risques plus globaux, comme ceux liés à l’environnement et au climat (tempêtes, inondations, catastrophes naturelles) ou ceux relatifs à la santé et à la sécurité (épidémies, attaques terroristes), qui font hélas l’actualité.
«Mieux vaut prévenir que guérir». Toute entreprise doit réfléchir à la mise en place d’une stratégie de gestion des risques avec comme objectifs d’identifier clairement les problèmes éventuels, de les classer, de les prioriser et de les résoudre, si possible. Elle doit consacrer à cette stratégie les ressources nécessaires, financières (provisions) et humaines. Le minimalisme en la matière est dangereux. Enfin, il faut revoir périodiquement cette stratégie afin de l’adapter, si nécessaire.
Cet article a paru dans 24 Heures, le 24 février 2020