L’immobilier suisse indirect a rebondi et ses fondamentaux sont sains, remarque Philippe Gabella, responsable de la gestion de l’immobilier indirect suisse à la BCV.
L’immobilier suisse indirect a connu un exercice 2018 décevant, pénalisé par une intense activité de titrisation et par la montée de l’aversion au risque en fin d’année. Est-ce le moment de se désengager de cette classe d’actifs? Non. L’immobilier suisse indirect a d’ailleurs rebondi et ses fondamentaux sont sains, remarque Philippe Gabella, responsable de la gestion de l’immobilier indirect suisse à la BCV. Il explique pourquoi, dans un environnement de taux bas, cette catégorie de placement a sa place dans un portefeuille diversifié et il passe en revue les challenges que doit relever cette classe d’actifs cette année.
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